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Une réponse à “S’abonner

  1. En m’excusant auprès de VR pour arriver un peu tard, mais il y a tellement de combat à mener…

    Faut-il brûler Vincent Reynouard ?

    Lettre ouverte à M. Sarkozy, Président de la République

    Monsieur le Président,

    J’apprends que les autorités françaises, au moment où le Moyen-Orient est en proie à de multiples soubresauts libérateurs, demandent à certains pays de libérer tous leurs prisonniers d’opinion. Cette requête est formulée au moment même où les autorités françaises détiennent dans les geôles de la République le chercheur révisionniste en Histoire, Vincent Reynouard, détenu pour délit d’opinion et contestation de crimes contre l’humanité.

    J’ai eu l’occasion de croiser Vincent Reynouard à Limoges, en un temps où il eut à rendre des comptes devant le tribunal correctionnel pour ses travaux sur le martyrologe d’Oradour sur Glane, travaux l’ayant amené à mettre sérieusement à mal la thèse officielle du drame ; il sera poursuivi par les habituels professionnels de la dénonciation pour contestation de crimes de guerre. Rien que ça ! Après maintes péripéties, le tribunal fera litière de ces accusations grotesques en prononçant une ordonnance de non lieu, assortie, si je me souviens bien, d’une interdiction de séjour dans le département. Je puis témoigner, connaissant bien l’affaire du massacre d’Oradour, que le travail effectué par Vincent Reynouard, dont j’ai eu l’occasion de lire tous les documents qu’il a publié sur ce drame (Oradour est la porte à côté de Limoges), est absolument remarquable de rigueur et de précision ; il s’appuie sur une riche documentation et des centaines de références.
    Je ne doute pas un instant que ses interventions dans tout autre domaine touchant à l’histoire soient empreintes de sa part du même professionnalisme rigoureux.

    Mais ce que j’ai à vous dire n’est pas là, M. le Président. M. Reynouard a été jugé et acquitté en Belgique pour le même motif qui lui vaut aujourd’hui d’être en prison en France ; il était en situation de réfugié politique avec sa famille ; les autorités belges, bafouant les traditionnelles lois de l’hospitalité dont se targuent tant nos démocraties, l’ont livré aux autorités Françaises qui l’ont condamné à un an de prison et aussitôt incarcéré. Il a été condamné en France pour contestation de crimes contre l’humanité, en application de la loi Gayssot. Or cette fameuse loi dite du communiste Gayssot n’est qu’une interprétation des attendus du jugement du tribunal de Nuremberg, et nous renvoie donc aux tribunaux d’exception de la Libération, ce qu’on pourrait appeler des juridictions de condamnation (restrictions des droits de la défense).

    Donc, puisque la notion de « crime contre l’humanité » appliquée aux crimes nazis est universelle, elle est nécessairement rétroactive et s’applique dans ce même esprit à toute guerre ayant entraîné des crimes définis « contre l’humanité » ; on devrait donc réactiver le Tribunal anglo-américain de Nuremberg (1945) afin de juger dans l’ordre chronologique :
    1. Les crimes d’Israël, le Nouvel et l’Ancien
    2. Les crimes de l’islam
    3. Les crimes de la Révolution française
    4. Les crimes du communisme
    5. Les crimes des États-Unis d’Amérique

    J’ai choisi ces faits historiques en raison du caractère agressif qui les distingue des autres, et qui correspond en tous points à la définition de « crime contre l’humanité » ; il y a crime contre l’humanité quand il y a volonté caractérisée d’agresser un peuple avec intention de l’exterminer ou d’éliminer ses composantes ethniques légitimes, soit pour l’étouffer, soit pour se substituer à lui. Notons qu’il n’est pas besoin d’avoir obligatoirement recours à la violence directe pour remplir ces conditions ; ainsi l’immigration de masse qui submerge actuellement la France a pour but d’éradiquer les Français de souche et de leur substituer un nouveau peuplement. La notion de crime contre l’humanité recouvre parfaitement ce type de viol ethnique de masse à vocation éradicatrice.

    Bien entendu, je ne vais pas entrer dans le détail historique des cinq cas évoqués ci-dessus : cela demanderait plusieurs pages ; mais en application de la loi Gayssot et de toutes les lois répressives qui, depuis plus de trente ans, restreignent comme une peau de chagrin la liberté d’expression en France, patrie des droits de l’homme, mais pas de n’importe quel homme, surtout pas patrie de l’homme défini français de souche, — une fois établis, il serait désormais interdit en France :
    1. de contester les crimes d’Israël ;
    2. de contester les crimes de l’islam ;
    3. de contester les crimes de la Révolution française ;
    4. de contester les crimes du communisme ;
    5. de contester les crimes des États-Unis.

    De la même façon, seraient accusés de crime de guerre et de crimes contre l’humanité, et donc redevables de la qualification infamante de criminels de guerre :
    1. MM. Moïse, prophète, et Josué, son bras droit et successeur (première conquête de la Palestine ou Canaan) ; la plupart des chefs d’État et militaires israéliens depuis 1948 (Deir Yassin, Lydda, Gaza, etc. : deuxième conquête de la Palestine) ;
    2. MM. Mahomet, prophète, Omar, calife, et le djihad dont la liste et les exploits sanglants jusqu’à nos jours serait fastidieuse ;
    3. MM. Robespierre, Danton, Barère, Saint-Just, Fouché, Couthon, Collot-d’Herbois et autres, pour ce que vous n’êtes pas sans savoir : massacres de Septembre, tentatives d’éradication physique de la Vendée et de la ville de Lyon, entre autres ;
    4. MM. Lénine, Staline, Trotski, Mao-Tse-Toung, Pol Pot et autres : ici on est dans le cas de massacres programmés à l’échelle d’un continent ;
    5. M. les Présidents des États-Unis tout le temps qu’a durée la guerre d’extermination contre les indiens d’Amérique du Nord, jusqu’au massacre de Wounded Knee ; cet ultime massacre de la tribu Lakota, décimée au canon Hotchkiss (malade, Bigfoot avait levé le drapeau blanc), mettra fin officiellement à plus de trois siècles de guerres incessantes entre Amérindiens et conquérants du « nouveau » monde ; MM. Bush père et fils également pour l’agression « sans cause » de l’Irak, mais aussi celle de l’Afghanistan à laquelle la France apporte un soutien militaire « sans cause et sans raison »…

    Encore une fois, M. le Président, au moment où les peuples du Moyen-Orient abattent leurs dictatures, je veux espérer que vous aurez la bienveillance d’appuyer de votre haute autorité la libération de M. Reynouard, et de permettre à ce père de 8 enfants de regagner au plus vite le foyer familial et de retrouver les siens ; j’en doute d’autant moins quand je constate que le gouvernement français et l’opposition républicaine n’hésitent pas à faire bloc pour exiger la libération de Mlle Florence Cassez, condamnée à 60 ans de prison au Mexique pour complicité d’enlèvement, pendant que M. Reynouard est détenu dans une prison française, non comme délinquant de droit commun mais comme prisonnier politique.

    Enfin, je ne désespère pas que vous évoquiez avec Mme Angela Merkel l’opportunité de reconstituer le tribunal de Nuremberg, afin de juger TOUS les crimes contre l’humanité et de les rendre IN-CON-TES-TA-BLES. Avec l’arrivée ces jours-ci du petit dernier dans la galerie des criminels de guerre, M. Kadhafi, sur les cinq mille ans de civilisation écrite connue, il y a du pain sur la planche !

    Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, à l’expression de ma respectueuse et déférente considération.
    Jean-Louis OMER
    Écrivain, philosophe, polémiste, homme politique,
    Fondateur de Force Française
    http://WWW.forcefrance.info
    Février 2011

    P.-S. Permettez-moi cette petite précision. Lorsque je parle des crimes d’Israël et de l’islam, je ne parle pas de religion, car je considère l’islam et le judaïsme non comme des religions, mais comme des systèmes politico-théocratiques faisant droit à la critique et à la contestation, comme tout autre système politique, qu’il soit libéral, socialiste, communiste, démocratique, autocratique, etc. Je rappelle que MM. Moïse, Josué, Mahomet, Omar, pour ne citer qu’eux, étaient d’abord des chefs de guerre avant d’être des prophètes ; M. Moïse était de rang princier en Égypte, et M. Mahomet, qui a commencé dans la vie comme apprenti guerrier, après un heureux mariage dans le commerce, a établi la fortune de ce qui deviendra l’islam en devenant pillard de caravanes. Et vous ne manquerez pas, M. le Président, de relever, comme tout un chacun, les similitudes entre ces saints personnages et M. Jésus.

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